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Bonjour M.FERRON,

En tant que MOA et exploitant de réseaux non sensibles, je prépare un marché concernant l’amélioration cartographique consistant, en amont de toute réponse aux DT DICT, à de la détection et du géoréférencement (perspective d’obligation de classe A sur les réseaux non sensibles en zone urbaine au 1er janvier 2026).

J’ai quelques questions dans ce cadre :

  1. Peut-on considérer l’amélioration cartographique comme une opération de mesure de localisation (ML) ? (les fascicules précisent bien le contexte des ML, OL, IC mais peu la démarche d’amélioration carto)
  2. Dans mon cahier des charges, est ce “légal” d’imposer la double certification “Géoréférencement et Détection des réseaux” pour de l’amélioration cartographique ?
  3. Comment traiter le cas de réseaux non sensibles, localisés en parcelle privé nous appartenant, et donc moins soumis à des DT DICT ? doit on aussi la classe A sur ces zones ?
  4. Les branchements pourvus d’un affleurant visible sont-ils exempté d’une cartographie en classe A ?
  5. Le prestataire chargé de ces détections est il soumis à une obligation de résultat ? en effet dans un contexte urbain dense, le risque est d’avoir échec de détection quasi systématique par des techniques non intrusives
  6. Toujours dans cette perspective d’échec de détection : comment traiter ces échecs de détection ? est-ce à considérer comme une exemption de la classe A ? Doit-on alors répondre aux DT DICT ultérieures en précisant la classe (B ou C) SUITE A échec de détection ? en tant qu’exploitant, est on dès lors dispensé de ML et d’IC en phase projet ?
  7. concernant le PCRS, quelle serait votre préconisation dans le cas de figure ou l’autorité compétente ne dispose pas à date de ce socle commun topographique ? L’attendre reviendrait à être en risque vis-à-vis de l’échéance du 1er janvier 2026.

Vous remerciant par avance pour vos retours sur cette floppée de questions.

Anthony Ferron Changer le statut à "publié" 29 octobre 2023